Poème à Papi (le 3 octobre 2006)
J'aurais dû profiter, de nos été, de nos vacances,
J'aurais dû mais je n'ai pas su saisir les chances,
J'aurais dû te dire plus souvent que je t'aimais,
J'aurais dû... j'aurais pu... mais je n'ai pas su...
J'aurais dû me douter que ce bonheur n'était que passager.
J'aurais dû dire mes sentiments à quelqu'un que j'aimais.
J'aurais dû sentir son éphémérité.
Cela fait bientôt deux ans que tu nous a laissées,
Mamie et moi, seules, dans un monde de dangers.
J'ai compris désormais, même s'il m'a fallu, pour ce faire,
La perte d'un être cher...
Il faut profiter de la vie,
de sa famille,
de ses amis.
Avant que la Mort ne nous les enlève,
Ne laissant qu'un grand vide,
Un coeur brisé,
Et ses yeux pour pleurer...
J'aurais dû mais je n'ai pas su saisir les chances,
J'aurais dû te dire plus souvent que je t'aimais,
J'aurais dû... j'aurais pu... mais je n'ai pas su...
J'aurais dû me douter que ce bonheur n'était que passager.
J'aurais dû dire mes sentiments à quelqu'un que j'aimais.
J'aurais dû sentir son éphémérité.
Cela fait bientôt deux ans que tu nous a laissées,
Mamie et moi, seules, dans un monde de dangers.
J'ai compris désormais, même s'il m'a fallu, pour ce faire,
La perte d'un être cher...
Il faut profiter de la vie,
de sa famille,
de ses amis.
Avant que la Mort ne nous les enlève,
Ne laissant qu'un grand vide,
Un coeur brisé,
Et ses yeux pour pleurer...
Retour aux articles de la catégorie Tendresse et caresses -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 63 autres membres